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Les instruments enseignés

La méthode d’apprentissage proposée repose sur l’oralité (apprentissage par l’oreille, le geste, la mémoire) par le biais de cours, le plus souvent, collectifs.

L’enseignement trouve ses sources dans le répertoire traditionnel breton, de Haute-Bretagne principalement.

La Bombarde​

Professeur :

Klervi Piel 

 

La bombarde est un instrument de musique à vent à anche double de la famille des hautbois, employé dans la musique traditionnelle bretonne.

 

Le mot « bombarde » provient du latin bombus, signifiant « bourdonnement » ou « bruit sourd ». En breton l'instrument s'appelle ar vombard (mutation de bombard) ou an talabard. Un joueur de bombarde s'appelle untalabarder. Il s'agit d'une variante de hautbois populaire spécifique à la Bretagne.

 

Elle est traditionnellement associée au biniou pour former ce qu'on appelle un couple de sonneurs. On peut également en jouer au sein d'orchestres plus ou moins étoffés.

Un pupitre de bombardes, associé à des percussions, des cornemuses et des caisses-claires écossaises, forme un ensemble appelé bagad.

Accordéon diatonique ​

Professeurs : 

Elouan Le Bras et Yaël Benahim

 

L'accordéon diatonique c'est un accordéon bisonore, selon que l'on tire ou que l'on pousse le soufflet, en appuyant sur un même bouton, on n'obtient pas la même note.

On le trouve dans différentes tonalités (par exemple :SOL/DO, DO/FA, RE#DO, etc..)

 

Sur l'accordéon diatonique, le clavier main droite est mélodique et le clavier main gauche est plus particulièrement destiné à l'accompagnement.

L'accordéon diatonique est un instrument utilisé en musiques traditionnelles.

Le violon  

Professeur :

Alain Boulet  ï»¿

La pratique du violon en Bretagne est une pratique
indissociable de la musique traditionnelle bretonne.
Elle a été très courante en Ille-et-Vilaine et à l’Est des Côtes d’Armor à l’ère de la société traditionnelle.
L’exercice du violon pour la musique bretonne se distingue en deux pratiques définies, l’une n’empêchant pas la pratique de l’autre. Il s’agit de la pratique de sonneur et celle de musicien de groupe. Aux menhirs, le répertoire irlandais du fiddle (violon en Irlande) est aussi abordé.

 

La Flûte traversière en bois 

Professeur :

Rémi Bouguennec

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Instrument de la famille des Vents, elle doit son nom de sa position si particulière, c'est à dire qu'elle se tient de travers par opposition aux flûtes dites droites comme le Tin Whistle ou la flûte à bec. Très utilisée en musique irlandaise d'abord, elle a rejoint de nombreux groupes de fest-noz notamment sous l'impulsion de grands flûtistes comme Jean Michel Veillon dans Barzaz, Kornog, Den, ou Pennou Skoulm, Yannick Allory dans Carré Manchot ou Sylvain Barou dans le duo Barou/Pellen, le Landat-Moisson Quintet. 

En Irlande et en Bretagne, les flûtes irlandaises sont en bois et avec peu de clefs alors qu'en musique "savante" ou classique elle est en métal. 

 

La guitare​

Professeur  :

Léonard Porcher



 

La guitare​ DADGAD

Professeur  :

Corentin Quimbert



 

Le N'goni  

Professeur :

Caroline Robert ï»¿

 

Le N'Goni est une sorte de guitare traditionnelle à 6 cordes, fabriquée à partir d'une calebasse coupée au 3/4 et évidée. Un manche de bois ou de bambou, traverse la calebasse et sert de support aux cordes (deux rangées parallèles). La calebasse est ensuite recouverte d'une peau d'animal (le plus souvent de chèvre) après avoir été percée d'un trou.

Le N’Goni est l’un des trésors d’Afrique, plus particulièrement dans la région de Wassoulo au Mali. Instrument de musique incontournable de la culture des Griots et du monde des chasseurs, il existe depuis la nuit des temps (environ 12e siècle). Connu initialement sous le nom du Dozo N’Goni (le n’Goni des chasseurs), il était l’emblème des chasseurs et de leur confrérie. Dans les années 50, Alata Bourleil et Yoro Diallo, alors jeunes musiciens se réapproprient le Dozo N’Goni, désirant le mettre en valeur hors du cadre traditionnel initiatique et pour ce faire créèrent le Kamele (jeunes) N’Goni.

La Harpe celtique ​

Professeur :

Maud Lemesle

 

La harpe celtique est un instrument à cordes pincées dont l’origine remonte à l'époque gallo-romaine. 

Elle devient au Moyen-Age l’instrument préféré des bardes. Dans les années 60, Alan Stivell, figure de proue du renouveau de la musique bretonne sur les ondes radiophoniques, lui donne un élan de popularité certain.

La harpe celtique a aujourd’hui trouvé sa place dans la musique traditionnelle, on la retrouve dans les festoù-noz ou les concerts en Bretagne. 

Les cours de harpe aux « Menhirs », initiés il y a

maintenant plus de 10 ans, sont actuellement animés par Molène Galard. 

Percussions africaines  â€‹

Professeur : 

Caroline Robert 

 

 

La Clarinette​

Professeur  :

Klervi Piel



La clarinette, du provençal clarin qui veut dire hautbois, est un instrument de musique à vent de la famille des bois caractérisée par son anche simple et sa perce quasi cylindrique.

 

Elle a été créée vers 1690 par Johann Christoph Denner (1655-1707) à Nüremberg sur la base d'un instrument à anche simple plus ancien : le « chalumeau ». La clarinette soprano (en siâ™­) est le modèle le plus commun.La perce cylindrique de la clarinette la distingue du hautbois et du saxophone, tous deux à perce conique, et lui confère une aptitude au quintoiement.

 

Son timbre chaud dans le registre grave, peut s'avérer extrêmement brillant voire perçant dans l'aigu. De tous les instruments à vent, la clarinette possède la plus grande tessiture avec trois octaves plus une sixte mineure, soit 45 notes en tout. Elle se décline en une famille d'instruments presque tous transpositeurs, depuis la clarinette contrebasse jusqu'à la clarinette sopranino, couvrant ainsi toute l'étendue d'un orchestre symphonique.

À l'exception des percussions, la clarinette est l'instrument qui possède la plus grande famille. On utilise la clarinette dans la musique classique et traditionnelle ainsi que dans le jazz.

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Le chant traditionnel   ​

Professeur : 

Louise Hamon- Merrand

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Le chant traditionnel de Haute-Bretagne a toujours pris une place importante dans l’enseignement de l’école de musique les Menhirs. Etant incontournable dans le paysage musical traditionnel, il fait actuellement partie des options obligatoires en cycle 1.

Accessible en cours individuel ou en petit collectif, quel que soit l’âge,  pour un apprentissage plus spécifique, plus basé sur la technique vocale et l’entendement modal et plus adapté au niveau du

répertoire, ce cours est idéal et offre à l’élève une

palette plus importante pour son avenir de musicien amateur ou professionnel.   

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Le biniou 

Professeur :

Klervi Piel

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Instrument de la grande famille des cornemuses, le biniou sera la plus petite et donc la plus aigüe de toutes. Elle partage avec la veuze, cornemuse utilisée en Loire-Atlantique, le titre de LA cornemuse bretonne. Il est constitué d'un sutell, tuyau par lequel on souffle, une poche, le plus souvent en peau de vache, en chèvre ou en mouton, un bourdon, tuyau où l'on y ajoute une anche simple et qui joue la note "bourdon" (note principale du morceau), et d'un "levriad" qui est plus ou moins une bombarde mais en deux fois plus petit. Le biniou est le compagnon indispensable de la bombarde. 

 

Le Piano

Professeurs  :

Vincent Audusseau

 

 

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